Les publications

Bibliotheca Floreffia met en ligne plus de 2400 pages, couvrant les publications suivantes :
– Folio : 1977 à Pâques 1979 / 10 numéros/ 78 pages.
– Glanes : 1971 à 1988 / 19 numéros / 631 pages.
– Nouvelles Glanes : 1997 à 2011 / 23 numéros / 944 pages.
– Quelques témoins du passé (Floriffoux) / 1973 à 1991 / 16 numéros / 750 pages.
– Documents photographiques (Floriffoux) / 1972 à 1996 / 12 numéros / 188 pages.
 
Bibliotheca Floreffia, le 10 janvier 2022.
 

Les cahiers wallons

En 1909, des étudiants de l’Athénée de Namur créent une société littéraire dialectale qu’ils dénomment «Les Rèlîs Namurwès» («rèlîs» signifie triés, choisis). Mais c’est en 1937 que sont nés à Châtelet, de l’initiative de deux Rèlîs, Eugène Gillain et Paul Moureau, les Cahiers Wallons. Leur objectif n’est pas d’abord de diffuser les écrits des seuls Rèlîs Namurwès mais de constituer une anthologie « pan-wallonne» regroupant des textes venant des différents parlers de Wallonie. En raison de la guerre, les Cahiers Wallons cesseront de paraître fin 1943. Mais en 1947, une équipe de Rèlîs reprend la direction de la revue qui accompagne, aujourd’hui encore, sous la responsabilité de Bernard Louis, un renouveau de la littérature wallonne. Il s’agit toujours d’œuvrer à la promotion d’une langue menacée de disparition: l’enjeu est de défendre notre biodiversité culturelle. (Wikipédia)

Bibliotheca Floreffia a reproduit et traduit des textes d’auteurs floreffois tels que Christiane Binamé et Lucien Namèche.

Folios

Bibliotheca Floreffia a décidé de scanner les dix numéros de la revue Folio parus entre 1977 et 1979 en vue d’en mettre les textes à la disposition des internautes intéressés. Il s’agissait d’un périodique de deux feuilles de format A4 pliées en deux et rédigées en recto/verso. Son ambition était d’informer les Floreffois sur les dossiers concernant leur lieu de vie (implantation de Materne, plan de secteur, etc…) et d’une manière générale, l’actualité sportive, culturelle, sociale, économique, patrimoniale notamment de la nouvelle entité communale de Floreffe.

Glanes et Nouvelles Glanes :

Nous reprenons ci-dessous l’éditorial publié par Jean Lombet dans le n°1 des Nouvelles Glanes.

En 1971, pour Noël, l’abbé Jean Daiche, curé de Floreffe, sortait le premier numéro des “GLANES”: neuf feuillets polycopiés avec une couverture beige. La polycopie au stencil électronique permettait de reproduire des documents manuscrits et graphiques. “ces fascicules n’ont aucune ambition, si ce n’est de présenter périodiquement, pêle-mêle, sans aucun ordre chronologique, des documents, des gravures, des reproductions concernant l’histoire de Floreffe”. Chaque numéro des Glanes reprenait cette phrase.

Les fascicules se sont suivis et l’impression s’est améliorée (on était passé à l’offset), les textes avaient pris de l’importance. L’abbé Jean Daiche mourut en 1980. L’abbé Jacques Ferminne reprit le flambeau de la paroisse et des Glanes. Il les a publiées jusqu’en mars 1988 (n°29).

Avec les NOUVELLES GLANES, nous voulons réaliser une publication également accessible à tous (par son prix et par son contenu)., également sur Floreffe. Nous voulons qu’en plus de Floreffe-centre, les autres villages et hameaux de la nouvelle commune figurent à la table des matières. Sans prétention de faire mieux, avec l’intention de faire un peu autre chose.

Nous serions très heureux de trouver auprès des gens de chez nous l’accueil qu’ils réservaient aux Glanes.

Ci-dessous, le sommaire complet des Glanes et Nouvelles Glanes, sous format Excell, pour un accès et une recherche par thème.

Sommaire Glanes et Nouvelles Glanes

Histoire de Soye

Publié tout d’abord dans la revue «L’Antiquaire» du Cercle d’études historiques de l’Entre-Sambre-et-Meuse» (Yves-Gomezée – René Adam), cet ouvrage parut en 1969 sous forme d’un livre broché de 261 pages, avec une carte du village et de ses lieux-dits.
Tiré à 500 exemplaires, celui-ci fut rapidement épuisé mais il demeure la référence pour une meilleure connaissance du beau village de Soye.

Monographies (Franière et Soye)

Franière : Henri Lessire :

Il s’agit en l’occurrence, d’un texte comportant 17 pages manuscrites, datant de la fin des années ´70 ou du début des années ‘80. L’auteur, Henri Lessire, a utilisé la documentation réunie par Léon Verheggen, Franiérois de bonne souche et féru d’histoire locale qu’il remercie d’ailleurs en début de son travail. Celui-ci contient beaucoup d’informations relatives à l’histoire de l’abbaye de Floreffe en lien avec l’histoire paroissiale de Franière. Il s’appesantit beaucoup sur ses divers aspects: l’église, les cloches, le presbytère, les curés, les événements paroissiaux du 20e siècle, les religieuses et les écoles, les mouvements de jeunesse, etc. Ce travail a le mérite d’apporter des informations concrètes sur la vie locale et ses activités pour la période allant de 1922 à 1980.

Franière : Emilie Pierrard :

Il s’agit ici d’un travail dactylographié comprenant 25 pages et daté très précisément du 1er décembre 1947.   L’auteure, Émilie Pierrard, était la fille de Désiré Pierrard, chauffeur du directeur de la Glacerie de l’époque, M. Vendroux (parent d’Yvonne Vendroux mieux connue sous le nom de Mme Charles de Gaulle). Elle habitait au Chemin privé une maison de la Glacerie et signale avoir trouvé sa documentation dans «la bibliothèque de l’abbaye».   Cette filiation explique l’intérêt de l’auteure pour le personnel de l’usine et, plus particulièrement, les étrangers : 102 ouvriers italiens et une soixantaine d’anciens prisonniers de guerre allemands. Mme Pierrard détaille les différents secteurs d’activité de la commune: l’industrie (bien représentée à Franière avec la Glacerie, les carrières, la boulonnerie, l’imprimerie notamment), le secteur agricole (les grosses fermes et les petites exploitations),les services publics (la Poste, la gare, l’administration communale), les artisans au nombre de 14, les 28 commerces, etc. Elle étudie ensuite l’aspect santé spirituelle de la commune qui semble l’intéresser beaucoup ainsi que son état sanitaire. L’auteure ne cache pas ses convictions religieuses et ses notations «bien-pensantes» qui témoignent de convictions morales d’une autre époque mais prêteraient à sourire aujourd’hui – ce qui donne à penser… Ce témoignage reste précieux aussi pour la précision des informations pratiques et concrètes de la vie locale de Franière il y a 75 ans.

Soye : Henri Burton

Nous présentons ici un document comportant deux cahiers manuscrits et plusieurs feuilles détachées, certains calligraphiés, d’autres à l’état de brouillons – au total, 31 pages auxquelles il faut ajouter la reproduction d’un plan de Soye datée de 1952 et une feuille dactylographiée extraite du Dictionnaire historique et géographique des communes belges de De Seyn. Non datée, cette monographie a dû être interrompue par le décès inopiné de son auteur, Henri Burton, en 1960. Il était né à Soye en 1898, au quartier du Rissart. Il ne cache pas la passion qu’il nourrit pour son village et la formule comme un cri du cœur :«Soye, mon village, celui que je préfère». Si ce travail n’est pas celui d’un historien de formation, il n’en contient pas moins pour autant nombre de notations intéressantes et des photos ou cartes postales anciennes qui feraient aujourd’hui le bonheur de collectionneurs. Il est à noter également qu’il a bénéficié des conseils d’un autre passionné dont on découvre ici ou là l’écriture, Louis Lessire, qui publiera sa propre Histoire de Soye en 1969.

Témoins du passé et documents photographiques

L’abbé Félix Biot, originaire de Franière et curé de Floriffoux, a fait paraître de 1973 à 1991, seize numéros de «Floriffoux, Quelques témoins du passé … » et de 1972 à 1996, douze numéros de «Documents photographiques ». Ces publications abordent tous les aspects du village , dans toutes ses dimensions : spirituelles, culturelles, sociales, patrimoniales, économiques, etc. Il a recherché inlassablement le contact avec les habitants, leurs témoignages et les a fait parler de ce qu’ils aimaient, notamment en matière de peintures, de photos, de littérature. Floriffoux n’avait plus aucun secret pour lui et il a tenu, jusqu’au bout de son ministère, à en faire profiter le plus grand nombre. Ce sont ici plus de neuf cents pages d’informations locales les plus diverses que nous vous proposons.

Pour accéder à la publication souhaitée, cliquer simplement sur le lien souhaité.

LES CAHIERS WALLONS 
FOLIO 
LES GLANES
LES NOUVELLES GLANES
L’HISTOIRE DE SOYE
MONOGRAPHIES
Les TÉMOINS DU PASSÉ